Temps de lecture: 1 minutes
1. Tout d’abord, c’est le monde de la construction qui pollue le plus; et ce-dernier n’est pas stricto sensu de la décoration;
2. Ensuite, l’industrie automobile, et tous les propriétaires de voitures, polluent plus que la production d’objets de décoration;
3. L’agriculture est aussi responsable en grande partie des problèmes écologies; et notamment la production de viandes, et l’utilisation de pesticides à grande échelle;
4. J’ai oublié aussi de citer les avions.
5. Et les fusées. Les centrales électriques. Les …
6. Après, oui, bon, la décoration fait acheter. Mais il existe au sein de la déco de belles alternatives, qui font que finalement, c’est un domaine qui a un impact potentiellement moindre que d’autres.
7. Par exemple, la production d’objets en matières recyclées; notamment le plastique et le verre, qui sont des incontournables;
8. Ensuite, les processus de production tendent à devenir plus verts, surtout lors de l’achat de produits européens, puisqu’il existe des normes en matière environnementale et parfois des aides gouvernementales;
9. Les solutions de plus en plus favorisées de l’achat en brocantes, marchés, et autres, permettent d’endiguer le problème; l’amour pour le vintage (le vrai!) est a ce titre salvateur;
10. Enfin, les produits eux-mêmes sont développés avec une volonté de prendre en compte l’écologie, et la santé: moins de chimique, plus de naturel… pour le bien de tous.
EN BREF, la déco est du bon côté de l’histoire!
Quelques contre-arguments? : Oui, la décoration d’intérieur est un monde pourri et détruit notre Terre.
Mais, au-delà de l’antagonisme, quelles solutions? (en guide de conclusion)
Trackbacks / Pingbacks